Difference between revisions of "Stöber, François (1862- )"

From Bestor
Jump to: navigation, search
m
 
Line 4: Line 4:
 
Géologue et géographe, professeur à l'[[Université de Gand]] et à la ''[[Les sciences à l’Université Von Bissing|Vlaamsche Hoogeschool]]''. Né le 26 juillet 1862 à Endorfer-Eisenhütte (Allemagne) ; date et lieu de décès inconnus.
 
Géologue et géographe, professeur à l'[[Université de Gand]] et à la ''[[Les sciences à l’Université Von Bissing|Vlaamsche Hoogeschool]]''. Né le 26 juillet 1862 à Endorfer-Eisenhütte (Allemagne) ; date et lieu de décès inconnus.
  
Stöber entra comme assistant à l’[[Université de Gand]] en 1898. Il suivit une carrière académique classique et était professeur extraordinaire au moment où la guerre éclata. Il était aussi directeur du laboratoire de minéralogie de l’[[Institut des sciences - Université Gand|Institut des Sciences de l’Université de Gand]]. Après sa collaboration à la ''[[Les sciences à l’Université Von Bissing|Vlaamsche Hoogeschool]]'', il perdit la nationalité belge. Il s’en retourna en Allemagne. On y perd sa trace.
+
<br/>Stöber entra comme assistant à l’[[Université de Gand]] en 1898. Il suivit une carrière académique classique et était professeur extraordinaire au moment où la guerre éclata. Il était aussi directeur du laboratoire de minéralogie de l’[[Institut des sciences - Université Gand|Institut des Sciences de l’Université de Gand]]. Après sa collaboration à la ''[[Les sciences à l’Université Von Bissing|Vlaamsche Hoogeschool]]'', il perdit la nationalité belge. Il s’en retourna en Allemagne. On y perd sa trace.
  
 
<br/>
 
<br/>

Latest revision as of 13:59, 10 October 2018

Source: Livre de découpes sur la Vlaamsche Hogeschool à Gand, par Paul Fredericq.

Géologue et géographe, professeur à l'Université de Gand et à la Vlaamsche Hoogeschool. Né le 26 juillet 1862 à Endorfer-Eisenhütte (Allemagne) ; date et lieu de décès inconnus.


Stöber entra comme assistant à l’Université de Gand en 1898. Il suivit une carrière académique classique et était professeur extraordinaire au moment où la guerre éclata. Il était aussi directeur du laboratoire de minéralogie de l’Institut des Sciences de l’Université de Gand. Après sa collaboration à la Vlaamsche Hoogeschool, il perdit la nationalité belge. Il s’en retourna en Allemagne. On y perd sa trace.


Bibliographie