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| − | Cet institut fait partie des différentes structures institutionnelles d'après-guerre créées afin de relancer l'industrie charbonnière qui est alors un pan important de l'industrie et de l'économie belge. C'est à l'origine un centre collectif de recherches pour l'industrie charbonnière. Parmi ses recherches figurent les aspects techniques permettant des meilleurs rendements et une meilleure utilisation du charbon mais aussi, par exemple, des procédés favorisant la sécurité des mines et des mineurs (entre-autre lutte contre le grisou, étayage des mines, etc.) | + | Cet institut fait partie des différentes structures institutionnelles d'après-guerre créées afin de relancer l'industrie charbonnière qui est alors un pan important de l'industrie et de l'économie belge. C'est à l'origine un centre collectif de recherches pour l'industrie charbonnière. Parmi ses recherches figurent les aspects techniques permettant des meilleurs rendements et une meilleure utilisation du charbon mais aussi, par exemple, des procédés favorisant la sécurité des mines et des mineurs (entre-autre lutte contre le grisou, étayage des mines, etc.). |
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Latest revision as of 14:23, 17 March 2014
| 1990 - | Institut scientifique de service public |
| 1967 - 1990 | Institut national des industries extractives - Nationaal instituut voor extractiebedrijven |
| 1947 - 1967 | Institut national de l'industrie charbonnière - Nationaal instituut voor de steenkoolnijverheid |
Historique
L'Institut national de l'industrie charbonnière (INICHAR) est créé à Liège par arrêté du régent le 7 septembre 1947, en même temps que le Centre national des charbonnages (CNC).
Cet institut fait partie des différentes structures institutionnelles d'après-guerre créées afin de relancer l'industrie charbonnière qui est alors un pan important de l'industrie et de l'économie belge. C'est à l'origine un centre collectif de recherches pour l'industrie charbonnière. Parmi ses recherches figurent les aspects techniques permettant des meilleurs rendements et une meilleure utilisation du charbon mais aussi, par exemple, des procédés favorisant la sécurité des mines et des mineurs (entre-autre lutte contre le grisou, étayage des mines, etc.).
Avec le déclin des mines à la fin des années 60, l'INICHAR fusionne le 1 juillet 1968 suite à un arrêté royal du 10 novembre 1967, avec l'Institut national des mines (INM[1]) situé à Pâturages pour devenir l'Institut national des industries extractives (INIEX) qui change de nom en 1990 pour devenir l'Institut scientifique de service public (ISSEP), nom qu'il a conservé jusqu'à aujourd'hui.
Actuellement, l'ISSEP a comme tâches principales[2]:
- la caractérisation de l'environnement
- l'évaluation des risques environnementaux et accidentels
- la veille et le développement technologique
Siège
Liège, 7 Boulevard Frère-Orban (en 1960)
Publications
- Bulletin technique de l'Institut national de l'industrie charbonnière. Documentation : 1951 (1) - 1961 (12)
- Bulletin technique de l'Institut national de l'industrie charbonnière. Houilles et dérivés : 1950 (1) - 1968(37)
- Bulletin technique de l'Institut national de l'industrie charbonnière. Mines : 1949(1) – 1968 (117)
- Bulletin technique de l'Institut national de l'industrie charbonnière. Préparation des minerais : 1951 (1) – 1961 (12)
Bibliographie
- HANNECART Roch, Le dernier carré: les charbonniers belges, libres entrepreneurs face à la CECA (1950-1959), Bruxelles, 2010, p. 252-254
- PLISNIER Flore, Conseil national des charbonnages, 2008
Lien externe
Site de l'ISSEP
