Difference between revisions of "Spring, Frédéric-Antoine (1814-1872)"

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Médecin et professeur à l’[[Université de Liège]], né le 8 avril 1814 à Geroldsbach et décédé le 17 janvier 1872 à Liège.  
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Médecin et professeur à l’[[Université de Liège]], né le 8 avril 1814 à Gerolsbach (Allemagne) et décédé le 17 janvier 1872 à Liège. Père du chimiste [[Spring, Walthère-Victor (1848-1911)|Walthère Spring]].
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[[File:Spring.JPG|right|Spring, Frédéric-Antoine (1814-1872)]]
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Né en Haute Bavière à Gerolsbach le 8 avril 1814, Frédéric Antoine Spring est le fils d’un instituteur. Son père décède alors qu’il n’a que trois ans et il devient orphelin à 13 ans. Il est alors élevé par un grand-oncle, chanoine à Lendkirchen.<ref> VANLAIR, Constant, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 492.</ref>.<br/>
Né en Haute Bavière à Geroldsbach le 8 avril 1814, Frédéric Antoine Spring est le fils d’un instituteur. Son père décède alors qu’il n’a que trois ans et il devient orphelin à 13 ans. Il est alors élevé par un grand-oncle, chanoine à Lendkirchen.<ref> VANLAIR, Constant, [http://www2.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 492.</ref>.<br/>
 
 
Il entre au gymnase Sainte-Anne d’Augsbourg et achève ses humanités dans un autre établissement de la ville, le gymnase Saint-Étienne.<br/>
 
Il entre au gymnase Sainte-Anne d’Augsbourg et achève ses humanités dans un autre établissement de la ville, le gymnase Saint-Étienne.<br/>
 
A quatorze ans, il compose une messe qui est jouée à la cathédrale d’Augsbourg. Il abandonne cependant la carrière artistique pour se consacrer à ses études et entre à l’Université de Munich.<br/>
 
A quatorze ans, il compose une messe qui est jouée à la cathédrale d’Augsbourg. Il abandonne cependant la carrière artistique pour se consacrer à ses études et entre à l’Université de Munich.<br/>
 
En 1835, il devient docteur lauréat en philosophie et en sciences naturelles, après avoir remporté une palme suite à sa participation à une question mise au concours en philosophie. L’année suivante, il obtient le diplôme de docteur en médecine, en chirurgie et en accouchement après s’être vu décoré au concours universitaire pour une question en médecine. <ref>[http://books.google.be/books?id=pUYBAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PA986#v=onepage&q&f=false "Joseph-Antoine Spring"], in LE ROY, Alphonse, ''Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation''], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 938-939.</ref><br/>
 
En 1835, il devient docteur lauréat en philosophie et en sciences naturelles, après avoir remporté une palme suite à sa participation à une question mise au concours en philosophie. L’année suivante, il obtient le diplôme de docteur en médecine, en chirurgie et en accouchement après s’être vu décoré au concours universitaire pour une question en médecine. <ref>[http://books.google.be/books?id=pUYBAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PA986#v=onepage&q&f=false "Joseph-Antoine Spring"], in LE ROY, Alphonse, ''Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation''], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 938-939.</ref><br/>
Il est nommé praktischer Arzt, il quitte Munich pour y revenir lors d’une épidémie de choléra, où renforce le personnel sanitaire et est nommé médecin-adjoint à l’Hôpital général. Il devient également suppléant du professeur von Loë, empêché d’enseigner à cause d’une maladie. Spring reprend le poste d’aide naturaliste aux collections botaniques de l’État et au Jardin botanique<ref> VANLAIR, Constant, [http://www2.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 493.</ref>.<br/>
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Il est nommé praktischer Arzt, il quitte Munich pour y revenir lors d’une épidémie de choléra, où renforce le personnel sanitaire et est nommé médecin-adjoint à l’Hôpital général. Il devient également suppléant du professeur von Loë, empêché d’enseigner à cause d’une maladie. Spring reprend le poste d’aide naturaliste aux collections botaniques de l’État et au Jardin botanique<ref> VANLAIR, Constant, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 493.</ref>.<br/>
  
 
En 1839, il obtient une bourse du gouvernement et part à Paris pour visiter les hôpitaux, étudier, suivre les cours du Collège de France et participer à des travaux particuliers au Museum d’Histoire naturelle. <ref>[http://books.google.be/books?id=pUYBAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PA986#v=onepage&q&f=false "Joseph-Antoine Spring"], in LE ROY, Alphonse, ''Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation''], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 940.</ref><br/>
 
En 1839, il obtient une bourse du gouvernement et part à Paris pour visiter les hôpitaux, étudier, suivre les cours du Collège de France et participer à des travaux particuliers au Museum d’Histoire naturelle. <ref>[http://books.google.be/books?id=pUYBAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PA986#v=onepage&q&f=false "Joseph-Antoine Spring"], in LE ROY, Alphonse, ''Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation''], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 940.</ref><br/>
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Le 5 octobre 1839, un arrêté royal le nomme, sur le proposition de [[Theux, Barthélemy-Théodore (1794-1874)|Barthélémy-Théodore de Theux]], professeur ordinaire pour le cours de physiologie humaine et comparée à l’[[Université de Liège]]. Il est aussi chargé de l’anatomie générale et descriptive. Ces deux dernières matières seront reprises par [[Schwann, Théodore (1810-1882)|Théodore Schwann]] en 1848.<br/>
 
Le 5 octobre 1839, un arrêté royal le nomme, sur le proposition de [[Theux, Barthélemy-Théodore (1794-1874)|Barthélémy-Théodore de Theux]], professeur ordinaire pour le cours de physiologie humaine et comparée à l’[[Université de Liège]]. Il est aussi chargé de l’anatomie générale et descriptive. Ces deux dernières matières seront reprises par [[Schwann, Théodore (1810-1882)|Théodore Schwann]] en 1848.<br/>
  
A partir de 1855, Spring se charge de la chaire de pathologie générale et trois ans plus tard, il abandonne à Schwann la chaire de physiologie pour reprendre le poste de titulaire de la seconde clinique rendu libre par la retraite de [[Frankinet, Jacq-Joseph-Charles (1786- ?)|Jacq-Joseph-Charles Frankinet]] <ref> VANLAIR, Constant, [http://www2.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 493.</ref>.
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A partir de 1855, Spring se charge de la chaire de pathologie générale et trois ans plus tard, il abandonne à Schwann la chaire de physiologie pour reprendre le poste de titulaire de la seconde clinique rendu libre par la retraite de [[Frankinet, Jacq-Joseph-Charles (1786- ?)|Jacq-Joseph-Charles Frankinet]] <ref> VANLAIR, Constant, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 493.</ref>.
 
Il est élu recteur de l’[[Université de Liège]] de 1861 à 1864.<br/>
 
Il est élu recteur de l’[[Université de Liège]] de 1861 à 1864.<br/>
 
Il est nommé correspondant de l'[[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten|Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles]], le 14 décembre 1841 et devient membre de l’institution le 15 décembre 1841. Il est directeur de la Classe des Sciences en 1868.<br/>
 
Il est nommé correspondant de l'[[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten|Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles]], le 14 décembre 1841 et devient membre de l’institution le 15 décembre 1841. Il est directeur de la Classe des Sciences en 1868.<br/>
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*[http://books.google.be/books?id=pUYBAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PA986#v=onepage&q&f=false "Joseph-Antoine Spring"], in LE ROY, Alphonse, ''Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation''], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 938-948.
 
*[http://books.google.be/books?id=pUYBAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PA986#v=onepage&q&f=false "Joseph-Antoine Spring"], in LE ROY, Alphonse, ''Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation''], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 938-948.
*SCHWANN, Théodore, [http://www2.academieroyale.be/academie/documents/SPRINGFredericAntoineARB_18748670.pdf "Notice sur Frédéric-Antoine Spring, membre de l'Académie"], in ''Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique'', 1874, p. 251-290.
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*SCHWANN, Théodore, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/SPRINGFredericAntoineARB_18748670.pdf "Notice sur Frédéric-Antoine Spring, membre de l'Académie"], in ''Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique'', 1874, p. 251-290.
*VANLAIR, Constant, [http://www2.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 492-509.
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*VANLAIR, Constant, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2071.pdf#page=257 "Spring (Fréderic-Antoine)"], in ''Biographie Nationale'', t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 492-509.
 
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Latest revision as of 09:31, 30 January 2024

Spring, Frédéric-Antoine (1814-1872)

Médecin et professeur à l’Université de Liège, né le 8 avril 1814 à Gerolsbach (Allemagne) et décédé le 17 janvier 1872 à Liège. Père du chimiste Walthère Spring.


Biographie

Né en Haute Bavière à Gerolsbach le 8 avril 1814, Frédéric Antoine Spring est le fils d’un instituteur. Son père décède alors qu’il n’a que trois ans et il devient orphelin à 13 ans. Il est alors élevé par un grand-oncle, chanoine à Lendkirchen.[1].
Il entre au gymnase Sainte-Anne d’Augsbourg et achève ses humanités dans un autre établissement de la ville, le gymnase Saint-Étienne.
A quatorze ans, il compose une messe qui est jouée à la cathédrale d’Augsbourg. Il abandonne cependant la carrière artistique pour se consacrer à ses études et entre à l’Université de Munich.
En 1835, il devient docteur lauréat en philosophie et en sciences naturelles, après avoir remporté une palme suite à sa participation à une question mise au concours en philosophie. L’année suivante, il obtient le diplôme de docteur en médecine, en chirurgie et en accouchement après s’être vu décoré au concours universitaire pour une question en médecine. [2]
Il est nommé praktischer Arzt, il quitte Munich pour y revenir lors d’une épidémie de choléra, où renforce le personnel sanitaire et est nommé médecin-adjoint à l’Hôpital général. Il devient également suppléant du professeur von Loë, empêché d’enseigner à cause d’une maladie. Spring reprend le poste d’aide naturaliste aux collections botaniques de l’État et au Jardin botanique[3].

En 1839, il obtient une bourse du gouvernement et part à Paris pour visiter les hôpitaux, étudier, suivre les cours du Collège de France et participer à des travaux particuliers au Museum d’Histoire naturelle. [4]

Le 5 octobre 1839, un arrêté royal le nomme, sur le proposition de Barthélémy-Théodore de Theux, professeur ordinaire pour le cours de physiologie humaine et comparée à l’Université de Liège. Il est aussi chargé de l’anatomie générale et descriptive. Ces deux dernières matières seront reprises par Théodore Schwann en 1848.

A partir de 1855, Spring se charge de la chaire de pathologie générale et trois ans plus tard, il abandonne à Schwann la chaire de physiologie pour reprendre le poste de titulaire de la seconde clinique rendu libre par la retraite de Jacq-Joseph-Charles Frankinet [5]. Il est élu recteur de l’Université de Liège de 1861 à 1864.
Il est nommé correspondant de l'Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles, le 14 décembre 1841 et devient membre de l’institution le 15 décembre 1841. Il est directeur de la Classe des Sciences en 1868.

liste des sociétés savantes et commissions dont Spring a fait partie
Dates Statut et société
1845 président du Conseil de salubrité publique de la province de Liège
1852 à 1857 membre du Comité d’inspection des établissements d’aliénés des asiles provisoires et de passage dans l’arrondissement de Liège
1853-1856 président de l’Association générale des médecins de la province de Liège
n.c. membre étranger de la Bayerische Akademie der Wissenschaften (à Munich)
n.c. membre de la Academia Caesarea Leopoldino-Carolina Naturae Curiosorum
n.c. correspondant de la Société médico-physique de Florence
n.c. Correspondant de la Société royale des médecins suédois à Stockholm
n.c. membre de la Société royale des sciences de Liège
n.c. membre de la Société royale de botanique de Belgique
n.c. correspondant étranger de la Société de biologie de Paris
n.c. correspondant étranger Königlich-Bayerische Botanische Gesellschaft in Regensburg
n.c. correspondant de l’Antwerpsch Kruidkundig genootschap
n.c. correspondant de la Société phytologique d’Anvers
n.c. correspondant de la Société des sciences naturelles et médicales de Bruxelles
n.c. correspondant de la Société impériale d’Emulation d’Abbeville
n.c. correspondant de la Senckenbergische Naturforschende Gesellschaft
n.c. correspondant de l’Académie d’archéologie de Belgique


Il devient chevalier de l’Ordre de Léopold le 30 septembre 1851 et est promu officier du même ordre le 21 novembre 1862. [6]
En 1854, Spring prend une part importante au sein de la commission mise en place pour l’élaboration d’un projet de loi relatif à la constitution des jurys d’examen.
Le 30 janvier 1864, il obtient la grande naturalisation. Spring conserve tout au long de sa carrière une patientelle importante. Il devient, en août 1868, médecin consultant au traitement du duc de Brabant.
Il meurt inopinément le 17 janvier 1872 à Liège.

Travaux

Spring rédige de nombreux mémoires sur des sujets variés. Une de ses principales œuvres en médecine clinique est le traité des accidents morbides dans lequel il expose différentes observations de cas pendant vingt ans de pratique en envisageant, les symptômes, les causes et les remèdes.
Il rédige de nombreux mémoires dans les matières qu’il enseigne à l’université, entre autres, en anatomie et physiologie. Ses principaux travaux dans ce domaine sont un mémoire sur les mouvements du cœur et une monographie sur la hernie du cerveau.
Il traduit avec la collaboration de Jean-Théodore Lacordaire, l’Anatomie comparée de von Siebold et Stannius.
Il rédige des travaux sur la famille des lycopodiarées et un précis de botanique qui paraît en 1852 dans un recueil de l’Encyclopédie populaire.

Publications

Mémoires de l'Académie


Bibliographie


Notes


  1. VANLAIR, Constant, "Spring (Fréderic-Antoine)", in Biographie Nationale, t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 492.
  2. "Joseph-Antoine Spring", in LE ROY, Alphonse, Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 938-939.
  3. VANLAIR, Constant, "Spring (Fréderic-Antoine)", in Biographie Nationale, t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 493.
  4. "Joseph-Antoine Spring", in LE ROY, Alphonse, Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 940.
  5. VANLAIR, Constant, "Spring (Fréderic-Antoine)", in Biographie Nationale, t. 23, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1925, col. 493.
  6. "Joseph-Antoine Spring", in LE ROY, Alphonse, Liber memorialis, l’université de Liége depuis sa fondation], Liège: imprimerie de J.-G. Carmanne, 1869, col. 941.