Difference between revisions of "MacLeod, Julius (1857-1919)"

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Botaniste, biologiste et professeur né le 19 février 1857 à Ostende et décédé le 3 mars 1919 à Gand. Epouse de [[Macleod-Maertens, Fanny (1858-1938)|Fanny Maertens]].
 
Botaniste, biologiste et professeur né le 19 février 1857 à Ostende et décédé le 3 mars 1919 à Gand. Epouse de [[Macleod-Maertens, Fanny (1858-1938)|Fanny Maertens]].
  

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Bron: Publiek domein, op Wikimedia Commons

Botaniste, biologiste et professeur né le 19 février 1857 à Ostende et décédé le 3 mars 1919 à Gand. Epouse de Fanny Maertens.

Biographie

Julius Mac Leod est né à Ostende le 19 février 1857. Après ses études secondaires à l'Athénée de Gand, Julius Mac Leod commença sa formation à l'Université de Gand. En 1878, il obtint son titre de docteur en sciences naturelles avec la plus grande distinction.

Dès lors, il devint préparateur au sein du Département des Sciences naturelles de l'Université et, en 1881, assistant au laboratoire histologique. De 1881 à 1885, il donna des leçons de botanique et de zoologie à la Rijknormaalschool de Bruges. Pendant cette période, il effectua plusieurs voyages d'études en France, en Allemagne, en Suisse et en Italie.

En tant que professeur de la Faculté de Médecine à l'Université de Gand, il donna de 1885 à 1888 le cours de Physiologie humaine. En 1887, il devint professeur de botanique et directeur du Jardin botanique de Gand. Les années suivantes, il donna les cours de botanique, de zoologie et de géographie humaine à l'École Normale des Sciences.

Pendant la Première Guerre mondiale, Julius Mac Leod trouva refuge à l'Université de Manchester[1].

Travaux

En 1894, Mac Leod publia Over de bevruchting der bloemen in het Kempisch gedeelte van Vlaanderen, un important travail sur l'éthologie des fleurs[2].

Il écrivit également un travail de synthèse sur la flore indigène : Geïllustreerde Flora van België(1892)[3].

À l'Université de Gand, Julius Mac Leod s'intéressait aux corrélations quantitatives entre les organes des plantes. En 1919, il publia The Quantitative Method in Biology, qui fut préparée à l'Université de Manchester[4].

Bibliographie

  • VAN DE VELDE, A.J.J., Geschriften van Julius MacLeod, Anvers, 1942, 173 p.

Notes

  1. LAWALRÉE, André,"De plantkunde", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 253.
  2. LAWALRÉE, André, "De plantkunde", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 250.
  3. LAWALRÉE, André,"De plantkunde", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 250.
  4. LAWALRÉE, André, "De plantkunde", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 253.