Difference between revisions of "Institut Gaggia"

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P.-J. Gaggia, émigré de Brescia, en Lombardie, fonde à Bruxelles, dans les dernières années du royaume des Pays-Bas , une Institution qui porte son nom et dont le plan et l'organisalion, s'écartant de la routine, sont bien faits pour lui attirer les suffrages des juges compétents.
 
P.-J. Gaggia, émigré de Brescia, en Lombardie, fonde à Bruxelles, dans les dernières années du royaume des Pays-Bas , une Institution qui porte son nom et dont le plan et l'organisalion, s'écartant de la routine, sont bien faits pour lui attirer les suffrages des juges compétents.
 
L'Institution ou l'Institut Gaggia est placé en 1829 sous la surveillance d'une commission composée de MM. le baron de Keverberg, conseiller d'État, Ch. de Brouckere, membre de la seconde chambre des États-Généraux et {{Quetelet}}, directeur de
 
L'Institution ou l'Institut Gaggia est placé en 1829 sous la surveillance d'une commission composée de MM. le baron de Keverberg, conseiller d'État, Ch. de Brouckere, membre de la seconde chambre des États-Généraux et {{Quetelet}}, directeur de
 
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On n'y admet que des internes, et ceux-ci doivent suivre un cours régulier d'études.
 
On n'y admet que des internes, et ceux-ci doivent suivre un cours régulier d'études.

Latest revision as of 12:32, 30 August 2011

P.-J. Gaggia, émigré de Brescia, en Lombardie, fonde à Bruxelles, dans les dernières années du royaume des Pays-Bas , une Institution qui porte son nom et dont le plan et l'organisalion, s'écartant de la routine, sont bien faits pour lui attirer les suffrages des juges compétents. L'Institution ou l'Institut Gaggia est placé en 1829 sous la surveillance d'une commission composée de MM. le baron de Keverberg, conseiller d'État, Ch. de Brouckere, membre de la seconde chambre des États-Généraux et A. Quetelet, directeur de l'Observatoire. On n'y admet que des internes, et ceux-ci doivent suivre un cours régulier d'études.