Difference between revisions of "Musée d’Histoire des Sciences de Gand"
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Institution fondée en 1948 à Gand, consacrée à l'exposition du patrimoine académique scientifique de l'[[Université de Gand]]. | Institution fondée en 1948 à Gand, consacrée à l'exposition du patrimoine académique scientifique de l'[[Université de Gand]]. | ||
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− | [[File:Gillis jan.png|left|230px|'''Jan Gillis fut l'un des fondateurs du musée. Source: | + | [[File:Gillis jan.png|left|thumb|230px|'''Jan Gillis fut l'un des fondateurs du musée.''' Source:Liber memorialis 1913-1960. deel II Faculteit der Geneeskunde, Gand, 1960, 170.]] Lors d'une réunion du Fonds MacLeod en 1938, le chimiste gantois [[Gillis, Jan Baptist (1893-1978)|Jan Gillis]] fut le premier à suggérer la création d'un musée en Histoire des Sciences. D'après Gillis, le Musée devait porter le nom de [[MacLeod, Julius (1857-1919)|Julius MacLeod]], en l'honneur de ce biologiste passionné d'histoire des sciences. L'idée ne rencontra guère de succès, à une époque où l'intérêt pour l'histoire des sciences dans les universités était globalement en déclin et où une partie très limitée du budget y était consacrée. <ref> En 1939, une exposition consacrée à MacLeod fut néanmoins mise sur pied. ''Archief Museum voor de Geschiedenis van de Wetenschappen'', MacLeod Fond, Verslagboek MacLeod Fonds, s dd. 24.11.1938, "Verslag van de bestuurszitting van het Archief ‘MacLeod Fonds’" et Maurice Dorikens, ‘Het museum voor de geschiedenis van de wetenschappen van de universiteit Gent’, in: ''Scientiarium Historia'', 21, (1995), n° 2, 103.</ref> Suite au déclenchement de la guerre, le Fonds MacLeod fut mis en sommeil. |
− | <br/>C'est surtout Gillis et son collègue [[Van de Velde, Albert Jacques Joseph (1871-1956) |Albert Van de Velde]] qui, peu avant et juste après la Seconde Guerre mondiale, parvinrent à redynamiser l'intérêt pour l'histoire des Sciences <ref> Vanpaemel, Geert, [http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc01_01/hall014gesc01_01_0029.php "Bijlage Wetenschapsgeschiedenis in België"] in: Halleux, Robert, Opsomer, Carmélia en Vandersmissen, Jan, 1998, Bruxelles, 430.</ref> En 1941, sur l'initiative de Van de Velde, une [[Bestendige Commissie voor de Geschiedenis van de Wetenschappen]] (Commission permanente pour l'histoire des sciences) fut fondée à | + | <br/>C'est surtout Gillis et son collègue [[Van de Velde, Albert Jacques Joseph (1871-1956) |Albert Van de Velde]] qui, peu avant et juste après la Seconde Guerre mondiale, parvinrent à redynamiser l'intérêt pour l'histoire des Sciences <ref> Vanpaemel, Geert, [http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc01_01/hall014gesc01_01_0029.php "Bijlage Wetenschapsgeschiedenis in België"] in: Halleux, Robert, Opsomer, Carmélia en Vandersmissen, Jan, 1998, Bruxelles, 430.</ref> En 1941, sur l'initiative de Van de Velde, une [[Bestendige commissie voor de geschiedenis der wetenschappen|"Bestendige Commissie voor de Geschiedenis van de Wetenschappen"]] (Commission permanente pour l'histoire des sciences) fut fondée à la[[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten|Koninklijke Vlaamse Academie]]. La même année, [[Gillis, Jan Baptist (1893-1978)| Gillis]] mit à nouveau la création d'un musée à l'ordre du jour de la commission. Parmi les membres de la “Commissie ter voorbereiding van een Museum der Vlaamsche Wetenschap” (Comité préparatoire d'un Musée de la Science flamande) créée en conséquence, on comptait, aux côtés de Gillis, [[Schouteden, Henri (1881-1972)|Henri Schouteden]], [[Robyns, Walter (1901-1986) |Walter Robyns]], [[Van Oye, Paul (1886-1969) |Paul van Oye]] et bien évidemment Van de Velde.<ref>A partir de 1942, la commission préféra le nom de ‘Vlaamsch museum voor de wetenschap’. Bestendige Commissie voor de Geschiedenis der Wetenschappen in Vlaamsch-België – Verslag over 1942, in: Koninklijke Vlaamse Academie voor Wetenschappen, Letteren en Schoone kunsten van België Jaarboek, 4 (1942), 135.</ref> Le futur musée fut fortement inspiré du récent Nederlandsch Historisch Natuurwetenschappelijk Museum (Musée Boerhaave) et du Museum der Vlaamsche Letterkunde (Maison des Lettres).<ref>L'actuelle Maison des Lettres à Anvers.</ref> Les membres du comité fondateur se consacrèrent pendant les années de guerre suivantes à la recherche, à la description et à l'inventaire de pièces potentielles pour la collection – instruments, objets personnels, manuscrits et autres souvenirs d'éminents savants flamands du passé. Vers la fin de la guerre, c'était un véritable “musée de papier” qui avait pris forme, consistant en centaines de fiches. Ce musée était clairement conçu comme étant de caractère flamand. En effet, les fiches [[File:Van de Velde Albert.gif|right|thumb|250px|Albert Van de Velde fut le premier directeur du musée. Source: Vanpaemel, Geert,[http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc01_01/hall014gesc01_01_0029.php "Bijlage Wetenschapsgeschiedenis in België"], 431.]] indiquaient clairement si les savants étaient “amis de la Flandre” (et si oui dans quelle mesure), ou bien “hostiles à la cause flamande” – mais même à ces derniers, une place fut reconnue dans le musée par “intérêt historique”. Après la guerre, on manquait malheureusement toujours de fonds pour la création d'un vrai musée.<ref>''Annuaire de l'Académie royale flamande des Sciences et des Arts'', 3 (1941), 44-53 et 212-215, et 4 (1942), 130-151.</ref> |
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− | <br/> C'est tout naturellement que Van de Velde devint le premier "administrateur" (président) du musée. Il s'acquitta de sa tâche de telle sorte qu'après un an seulement, le musée était saturé. En outre, après la Seconde Guerre mondiale, l'équipement scientifique devenait de plus en plus rapidement obsolète. Les instruments en fin de course et les modèles de démonstration tombés en désuétude étaient jetés à la poubelle ou démontés, mais beaucoup finirent | + | <br/> C'est tout naturellement que Van de Velde devint le premier "administrateur" (président) du musée. Il s'acquitta de sa tâche de telle sorte qu'après un an seulement, le musée était saturé. En outre, après la Seconde Guerre mondiale, l'équipement scientifique devenait de plus en plus rapidement obsolète. Les instruments en fin de course et les modèles de démonstration tombés en désuétude étaient jetés à la poubelle ou démontés, mais beaucoup finirent dans les salles et le dépôt du musée.<ref>Danniau, Fien, [http://www.ugentmemorie.be/artikel/museum-voor-de-geschiedenis-van-de-wetenschappen Musée pour l'Histoire des Sciences], sur: Ugentmemorie (consulté le 24-09-2015).</ref> Les trois salles du Musée des Beaux-Arts, où la collection s'installa en 1950, paraissaient initialement sur-dimensionnées. Mais après six ans, la situation était à nouveau intenable, selon Van Oye : "Les objets ont dû être empilés les uns sur les autres, tous les coins et côtés ont été bourrés [...].". Les critiques traitaient le musée de « cave à bazar ».<ref> Paul Van Oye, ‘Inwijding van de nieuwe installatie van het museum voor de geschiedenis van de wetenschappen op 29-11-1965’, in: ''De Brug'', 10 (1966), n° 1, 10.</ref> |
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− | <br/> En 1994, le musée déménagea à nouveau, cette fois vers le campus scientifique De Sterre, où la collection put être transférée dans un ancien dépôt militaire. Entretemps la collection | + | <br/> En 1994, le musée déménagea à nouveau, cette fois vers le campus scientifique De Sterre, où la collection put être transférée dans un ancien dépôt militaire. Entretemps la collection s'était encore développée, avec des ordinateurs et même un accélérateur de particules. On continua à mettre l’accent sur les instruments. Pourtant, il semble encore aujourd'hui que des éléments clés du concept originel de Gillis et Van de Velde ont été conservés. Sans toutefois prolonger le thème flamand, des efforts ont été faits pour acquérir des collections concernant des scientifiques éminents, tels que [[Plateau, Joseph-Antoine-Ferdinand (1801-1883)|Joseph Plateau]], [[Baekeland, Leo Hendrik (1863-1944)|Leo Baekeland]] et [[Kekulé, August (1829-1896) |August Kekulé]]. Ils ont reçu une place centrale et distincte dans le musée. |
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Institution fondée en 1948 à Gand, consacrée à l'exposition du patrimoine académique scientifique de l'Université de Gand.
Historique
Lors d'une réunion du Fonds MacLeod en 1938, le chimiste gantois Jan Gillis fut le premier à suggérer la création d'un musée en Histoire des Sciences. D'après Gillis, le Musée devait porter le nom de Julius MacLeod, en l'honneur de ce biologiste passionné d'histoire des sciences. L'idée ne rencontra guère de succès, à une époque où l'intérêt pour l'histoire des sciences dans les universités était globalement en déclin et où une partie très limitée du budget y était consacrée. [1] Suite au déclenchement de la guerre, le Fonds MacLeod fut mis en sommeil.
C'est surtout Gillis et son collègue Albert Van de Velde qui, peu avant et juste après la Seconde Guerre mondiale, parvinrent à redynamiser l'intérêt pour l'histoire des Sciences [2] En 1941, sur l'initiative de Van de Velde, une "Bestendige Commissie voor de Geschiedenis van de Wetenschappen" (Commission permanente pour l'histoire des sciences) fut fondée à laKoninklijke Vlaamse Academie. La même année, Gillis mit à nouveau la création d'un musée à l'ordre du jour de la commission. Parmi les membres de la “Commissie ter voorbereiding van een Museum der Vlaamsche Wetenschap” (Comité préparatoire d'un Musée de la Science flamande) créée en conséquence, on comptait, aux côtés de Gillis, Henri Schouteden, Walter Robyns, Paul van Oye et bien évidemment Van de Velde.[3] Le futur musée fut fortement inspiré du récent Nederlandsch Historisch Natuurwetenschappelijk Museum (Musée Boerhaave) et du Museum der Vlaamsche Letterkunde (Maison des Lettres).[4] Les membres du comité fondateur se consacrèrent pendant les années de guerre suivantes à la recherche, à la description et à l'inventaire de pièces potentielles pour la collection – instruments, objets personnels, manuscrits et autres souvenirs d'éminents savants flamands du passé. Vers la fin de la guerre, c'était un véritable “musée de papier” qui avait pris forme, consistant en centaines de fiches. Ce musée était clairement conçu comme étant de caractère flamand. En effet, les fiches indiquaient clairement si les savants étaient “amis de la Flandre” (et si oui dans quelle mesure), ou bien “hostiles à la cause flamande” – mais même à ces derniers, une place fut reconnue dans le musée par “intérêt historique”. Après la guerre, on manquait malheureusement toujours de fonds pour la création d'un vrai musée.[5]
Le manque d'argent en était-il la raison? Ce n'est pas clair, mais il semble que la Commission permanente, en la personne de Van de Velde, misa désormais sur un autre bailleur potentiel. Le lobbying de Van de Velde auprès du conseil communal de Gand, durant trois ans, finit par porter ses fruits: en 1948, l'administration érigeait un nouveau musée communal : le “Museum voor de Geschiedenis der Wetenschappen”. Il fut installé dans une salle du Bijloke, où étaient également disposées les pièces du musée d'archéologie. Les membres de la Commission permanente furent nommés au conseil d'administration.[6] L'Université de Gand s'engagea à partir de 1961 à venir en aide à la ville quant aux frais de maintenance et de personnel. En établissant ce musée, le conseil communal gantois ne réalisait pas seulement le rêve de Gillis et de Van de Velde, mais il répondait aussi, et surtout, à un vœu de sa propre population. Les Gantois étaient en effet curieux de découvrir les collections scientifiques de l'Université. A la demande de la ville, les facultés ouvrirent une fois par an au grand public leurs collections de modèles de démonstration et de cabinets d'instruments. Pour la première fois, ces objets étaient désormais rendus accessibles au public dans un musée attrayant.[7]
C'est tout naturellement que Van de Velde devint le premier "administrateur" (président) du musée. Il s'acquitta de sa tâche de telle sorte qu'après un an seulement, le musée était saturé. En outre, après la Seconde Guerre mondiale, l'équipement scientifique devenait de plus en plus rapidement obsolète. Les instruments en fin de course et les modèles de démonstration tombés en désuétude étaient jetés à la poubelle ou démontés, mais beaucoup finirent dans les salles et le dépôt du musée.[9] Les trois salles du Musée des Beaux-Arts, où la collection s'installa en 1950, paraissaient initialement sur-dimensionnées. Mais après six ans, la situation était à nouveau intenable, selon Van Oye : "Les objets ont dû être empilés les uns sur les autres, tous les coins et côtés ont été bourrés [...].". Les critiques traitaient le musée de « cave à bazar ».[10]
En 1994, le musée déménagea à nouveau, cette fois vers le campus scientifique De Sterre, où la collection put être transférée dans un ancien dépôt militaire. Entretemps la collection s'était encore développée, avec des ordinateurs et même un accélérateur de particules. On continua à mettre l’accent sur les instruments. Pourtant, il semble encore aujourd'hui que des éléments clés du concept originel de Gillis et Van de Velde ont été conservés. Sans toutefois prolonger le thème flamand, des efforts ont été faits pour acquérir des collections concernant des scientifiques éminents, tels que Joseph Plateau, Leo Baekeland et August Kekulé. Ils ont reçu une place centrale et distincte dans le musée.
Administrateurs
- Albert Van de Velde (1948-1956)
- Jean Van de Velde (1956-1961)
- Paul van Oye (1961-1964/5?)
- Jan-Baptiste Quintyn (1964/5-1984 )
- Frans Lox (1985-1993)
- Maurice Dorikens (1995-2001)
- J. Uyttenhove (2001-2006)
- Danny Segers (2006-)
Situation
Le musée d'histoire des sciences a aujourd'hui été absorbé par le GUM (Gents Universiteits Museum: Forum des sciences, du doute et de l'art) et est situé à la Ledeganckstraat 35, 9000 Gand.
Liens
- Ancien site web: www.sciencemuseum.ugent.be
- Site web actuel de GUM: www.gum.gent.
Bibliographie
- "Verslagen van de Bestendige Commissie voor de Geschiedenis van de Wetenschappen", in: Koninklijke Vlaamse Academie voor Wetenschappen, Letteren en Schoone kunsten van België Jaarboek, (1942-1948).
- Van de Velde, Albert, "Het museum voor de geschiedenis der wetenschappen", in: Mededelingen van de Koninklijke vlaamse Academie voor Wetenschappen, Letteren en Schone Kunsten van België : Klasse der Wetenschappen, 13 (1951), nr 4.
- Timmermans, Jean, Van Oye, Paul en Rooseboom, Maria, Openbare hulde aan Professor Albert J.J.van de Velde, stichter van het Museum voor de Geschiedenis der Wetenschappen, op dinsdag 9 April 1957 te 18 uur in de erezaal van het Museum voor Schone Kunsten te Gent, Gand, 1958.
- 'Inwijdingsplechtigheid van de nieuwe installatie op 29 october 1965', in: Sartonia, 1 (1966), 1-16.
- Van Oye, Paul, ‘Inwijding van de nieuwe installatie van het museum voor de geschiedenis van de wetenschappen op 29-11-1965’, in: De Brug, 10 (1966), n° 1, 9-21.
- Gillis, Jan "Van de Velde Albert Jacques Joseph", in: Nationaal Biografisch Woordenboek, 5 (1972), col. 915-918.
- Dorikens, Maurice, ‘Het museum voor de geschiedenis van de wetenschappen van de universiteit Gent’, in: Scientiarium Historia, 21 (1995) n° 2, 103-111.
- Segers, Danny, “Geschiedenis van ‘het Museum voor de Geschiedenis van de wetenschappen’”, in: Museum voor de Geschiedenis van de wetenschappen. Catalogus met achtergrondinformatie bij de jubileumtentoonstelling, Gand, 2006.
- Wautiers, Kristel en Segers, Danny, “De professoren A.J.J. Van de Velde en P. Van Oye en de oprichting van het Museum voor de Geschiedenis van de Wetenschappen”, document non publié, Journée d’étude "Sarton et l’Histoire des Sciences Belge", Palais des Académies à Bruxelles, le 13 novembre, 2013.
- Danniau, Fien, Museum voor de Geschiedenis van de Wetenschappen, sur: Ugentmemorie (consulté le 24-09-2015).
Notes
- ↑ En 1939, une exposition consacrée à MacLeod fut néanmoins mise sur pied. Archief Museum voor de Geschiedenis van de Wetenschappen, MacLeod Fond, Verslagboek MacLeod Fonds, s dd. 24.11.1938, "Verslag van de bestuurszitting van het Archief ‘MacLeod Fonds’" et Maurice Dorikens, ‘Het museum voor de geschiedenis van de wetenschappen van de universiteit Gent’, in: Scientiarium Historia, 21, (1995), n° 2, 103.
- ↑ Vanpaemel, Geert, "Bijlage Wetenschapsgeschiedenis in België" in: Halleux, Robert, Opsomer, Carmélia en Vandersmissen, Jan, 1998, Bruxelles, 430.
- ↑ A partir de 1942, la commission préféra le nom de ‘Vlaamsch museum voor de wetenschap’. Bestendige Commissie voor de Geschiedenis der Wetenschappen in Vlaamsch-België – Verslag over 1942, in: Koninklijke Vlaamse Academie voor Wetenschappen, Letteren en Schoone kunsten van België Jaarboek, 4 (1942), 135.
- ↑ L'actuelle Maison des Lettres à Anvers.
- ↑ Annuaire de l'Académie royale flamande des Sciences et des Arts, 3 (1941), 44-53 et 212-215, et 4 (1942), 130-151.
- ↑ Décision communale du 11 mars 1946. La décision fut publiée dans : Annuaire de l'Académie royale flamande de Belgique des Sciences et des Arts, 8 (1946), 171-172.
- ↑ Danniau, Fien, Museum voor de Geschiedenis van de Wetenschappen, ], sur: Ugentmemorie (consulté le 24-09-2015).
- ↑ Il n'existe malheureusement pas d'inventaire de la collection à cette période, mais les photos du musée dans la période 1950-1963 donnent de bons indices sur la structure du musée .
- ↑ Danniau, Fien, Musée pour l'Histoire des Sciences, sur: Ugentmemorie (consulté le 24-09-2015).
- ↑ Paul Van Oye, ‘Inwijding van de nieuwe installatie van het museum voor de geschiedenis van de wetenschappen op 29-11-1965’, in: De Brug, 10 (1966), n° 1, 10.
- ↑ Il s’agissait d’un moulage d'une statue en bronze, par Geo Verbanck (1954), qui se trouve maintenant dans le dépôt du musée. Gillis, Jan "Van de Velde Albert Jacques Joseph", in: Nationaal Biografisch Woordenboek, 5 (1972), Bruxelles, col. 918.