Difference between revisions of "Vanderlinden, Henri Louis (1892-1983)"

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<div style="text-align:right;">[https://www.bestor.be/wiki_nl/index.php/Vanderlinden,_Henri_Louis_(1892-1983) NL]</div>
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[[category:Scientifiques]][[category:Naissance 1876-1900]] [[category:Mathématiciens]][[category:Physiciens]][[category: Observatoire royal]][[category:Astronomes]] [[category:Professeurs]][[category:Professeurs UGent]][[category: Membres KVAB]][[category: Astrophysiciens]]
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Astronome né à Watermael-Boitsfort le 3 janvier 1892 et décédé dans la même commune le 30 mars 1983.
  
Wis- en natuurkundige geboren op 3 januari 1892 en overleden op 30 maart 1983 in Bosvoorde.
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===Biographie===
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Henri Louis Vanderlinden est né le 3 janvier 1892 à Watermael-Boitsfort. Il est le fils de Catherine Ceuleneer et de Amand Charles Vanderlinden, un ouvrier du marbre. Il fait ses études secondaires à l’[[Athénée royal d’Ixelles]]. Le 8 juillet 1914, il est proclamé docteur en physique et en mathématiques à l’[[Université libre de Bruxelles]]. Au cours de ses études universitaires, il se passionne pour l’astronomie. En septembre 1913, il est assistant volontaire à l’[[Observatoire royal de Belgique – Koninklijke sterrenwacht van België|Observatoire royal]] d’Uccle. Une fois diplômé, il est nommé assistant-stagiaire. Il obtient le titre d’assistant quelques mois plus tard et en 1927, il devient astronome-adjoint. Il occupe ce poste jusqu’en 1936. En 1923, il est envoyé à l’Observatoire de Leiden auprès du danois Ejnar Hertzsprung. Cet échange scientifique lui permet d’utiliser la méthode basée sur les longueurs d’ondes effectives et mise au point par Hertzsprung pour déterminer les équivalents de couleurs des étoiles et des nébuleuses.<ref> MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in ''Nationaal Biografisch Woordenboek'', vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 777.</ref> <br/>Bénéficiant d’un bourse de la [[Commission for the Relief of Belgium]], Henri Louis Vanderlinden part comme assistant-chercheur, pour l’année académique 1923-1924, au Mount Wilson Observatory à Pasadena en Californie. L’année suivante, il se rend au Yerkes Observatory de l’University of Chicago.
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<br/>En octobre 1925, Vanderlinden est nommé chargé de cours à l’[[Université de Gand]], où il enseigne l’astronomie mathématique, la géodésie, la mécanique analytique, et la mécanique des corps célestes auxquels vont s’ajouter les cours de géographique mathématique, de spectroscopie et astrophysique, de physique du globe et de météorologie.<ref> VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in ''Jaarboek 1983'', Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222.</ref> Le 1<sup>er</sup> janvier 1934, il devient professeur extraordinaire.
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En 1936, il est nommé professeur ordinaire à l’[[Université de Gand]] après avoir démissionné de son poste à l’Observatoire. Il conserve cependant le titre d’astronome correspondant. Plus tard, il devient successivement membre, vice-président et président du Conseil scientifique de l'Observatoire.
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Dans les années 60, il fait partie du conseil supervisant les institutions scientifiques appartenant au Conseil de la recherche scientifique (l’[[Observatoire royal de Belgique – Koninklijke sterrenwacht van België|Observatoire royal]], l’[[Institut royal météorologique de Belgique-Koninklijk meteorologisch instituut van België|Institut royal de météorologie]] et l’[[Institut d'aéronomie spatiale de Belgique - Belgisch instituut voor ruimte-aëronomie|Institut d'aéronomie spatiale de Belgique]]). <ref>MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in ''Nationaal Biografisch Woordenboek'', vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 780.</ref>
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En dehors de ses charges académiques à l’[[Université de Gand]], Vanderlinden occupe des fonctions administratives. Il est notamment secrétaire de la faculté des sciences en 1941-1942, et de 1942 à 1943, il en est le doyen.<br/>  
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Il accède à l’éméritat en 1962.
  
===Biografie===
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<br/>En 1923 et en 1933, Vanderlinden remporte le [[Prix Agathon De Potter]].
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Il entre en 1938 comme Membre de la [[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten|Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten]] nouvellement scindée. Il est en 1944, directeur de la classe des sciences et président de l’Académie. Il est membre de la commission des publications et de la commission des candidatures à la classe des sciences. <ref> VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in ''Jaarboek 1983'', Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222.</ref>
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Dans le cadre de l’académie, il est membre (ensuite membre honoraire) du [[Comité National de Mécanique théorique et appliquée]], du [[Comité National de Mathématique]], du [[Comité National des Recherches Spatiales]] et du [[Comité National d'Astronomie]] dont il a été également secrétaire, vice-président et président. <ref>MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in ''Nationaal Biografisch Woordenboek'', vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 782.</ref><br/>
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Le 28 octobre 1983, le fonds Vanderlinden est créé suite à un don de ce dernier à l’Académie, il permet le création d'un [[Henri Vanderlindenprijs|prix]]. Il a pour objectif la remise d’un prix récompensant, tous les deux ans, une étude novatrice en astronomie. <ref>''Jaarboek 1983'', Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 174.</ref>
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Au sein du [[Fonds National de la Recherche Scientifique - Nationaal Fonds voor Wetenschappelijk Onderzoek|FNRS]], il est membre de la première commission de mathématique et d’astronomie et prend fréquemment part aux réunions du [[Groupe de contact "astronomie et astrophysique"]].
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Il siège au conseil d’administration de l’[[Institut pour la recherche scientifique en Afrique centrale - Instituut voor Wetenschappelijk Onderzoek in Centraal Afrika|IRSAC]] et est membre de la [[Bestendige Commissie voor Sterrenkunde in Centraal Afrika]] et du [[Comité National belge pour la recherche en Antarctique]]. En 1944, il devient membre correspondant de la [[Société royale des sciences de Liège]]. En 1948, il devient membre de l'Association des astronomes néerlandais.<br/>
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De 1946 à 1982, il est le troisième président de la [[Natuur- en Geneeskundige Vennootschap]], qui fait paraître le périodique [[Simon Stevin : wis- en natuurkundig tijdschrift]].
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Étant régulièrement amené à travailler avec des données et des calculs numériques, Vanderlinden s’intéresse à l’utilisation et au développement des machines à calculer.
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Dès lors, il est membre du conseil consultatif du [[Centre national de calcul mécanique]], du [[Conseil d’étude et de construction de machines à calculer électroniques]] de l’[[Institut pour l'encouragement de la Recherche Scientifique dans l'Industrie et l'Agriculture - Instituut tot Aanmoediging van het Wetenschappelijk onderzoek in Nijverheid en Landbouw|IRSIA]].<ref> MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in ''Nationaal Biografisch Woordenboek'', vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 781.</ref>
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Il est aussi actif dans plusieurs sociétés savantes à l’étranger. En 1925, il devient membre de l’International Astronomical Union au sein de laquelle il participe à trois commissions : celle de photométrie stellaire, amas stellaires et de nébuleuses et statistiques stellaires. A partir de 1930, il est membre de la Nederlands Archief van Tijdmeetkunde.<br/>
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Outre l'aspect purement scientifique, il s’intéresse à la vulgarisation scientifique. Il est un des co-fondateurs et de 1945 à 1952, président de la [[Vereniging voor sterrenkunde, meteorologie, geofysica en aanverwante wetenschappen]] qui regroupe des astronomes-amateurs et d’autres personnes intéressées.
  
Hij werd geboren te Watermael-Bosvoorde op 3 januari 1892 als zoon van Catherine Ceuleneer en Amand Charles, een marmerbewerker. Hij deed zijn middelbare studies aan het Koninklijk Atheneum te Elsene.  Hij promoveerde tot doctor in de wis- en natuurkunde op 8 juli 1914 aan de [[Université Libre de Bruxelles]]. Tijdens zijn universitaire studies geraakte hij geïntereseerd in de sterrenkunde. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 776. <ref/> <br/>
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<br/> Vanderlinden est grand-officier de l’[[ordre de Léopold]].<ref> VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in ''Jaarboek 1983'', Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222.</ref><br/>
In september 1913 werd hij vrijwillig assistent aan de [[Koninklijke Sterrenwacht te Ukkel]]. Na het afronden van zijn universitaire opleiding werd hij benoemd tot stagiair-assistent, enkele maanden later was hij assistent en in 1927 adjunct-sterrenkundige.  Deze laatste functie bekleedde hij tot in 1936. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 777. <ref/> 
 
In 1923 werd hij voor enkele maanden naar Leiden gestuurd om er te werken onder de Deen Ejnar Hertzsprung.  Hier kon hij zich bekwamen in het toepassen van de door Ejnar Hertzsprung ontwikkelde methode der effectieve golflengten ter bepaling van kleurequivalenten van sterven en nevels. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 777. <ref/>  Via een een beurs van de [[Commission for the Relief of Belgium |C.R.B]] werkte hij als Research Assistent aan het Mount Wilson Observatory (Pasadena, Californië) in het academiejaar 1923-1924 en in het academiejaar 1924-1925 aan het Yerkes Observatory of the University of Chicago.<br/>
 
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In oktober 1925 werd hij benoemd tot docent aan de [[Rijksuniversiteit Gent]], waar hij wiskundige sterrenkunde, geodesie, analytische mechanica en mechanica der hemellichamen doceerde.  Zijn leeropdracht werd later uitgebreid met de cursussen wiskundige aardrijkskunde, spectroscopie en astrofysica, fysica van de aardbol en de meteorologie.<ref> Velghe, A.G.,“In Memoriam Henri Louis Vanderlinden”, In: ‘’Jaarboek 1983’’, Brussel: KVAB, p. 220-222.<ref/> Op 1 januari 1934 werd hij benoemd tot buitengewoon hoogleraar. Nadat hij in 1936 zijn functie bij de Sterrenwacht neerlegde, werd hij benoemd tot gewoon hoogleraar aan de RUG.
 
Hij bleef sterk betrokken bij de Koninklijke Sterrenwacht en hij werd aangesteld als corresponderend astronoom. Later werd hij achtereenvolgens lid, ondervoorzitter en voorzitter van de Wetenschappelijke Raad van de Sterrenwacht.  In de jaren ’60 maakte hij deel uit van de Gemeenschappelijke Raad der wetenschappelijke inrichtingen behorend tot het Bestuur van het Wetenschappelijk Onderzoek (Sterrenkundig Observatorium, Meteorologisch Instituut en Instituut voor Ruimte-Aëronomie). <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 780. <ref/> <br/>
 
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Naast zijn academische functies aan de RUG, nam hij ook een aantal bestuurlijke functies waar: secretaris van de Faculteit Wetenschappen (1941-1942) en Decaan van de Faculteit van 1942 tot 1943. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 780. <ref/><br/>
 
Hij werd toegelaten tot het emeritaat in 1962.<ref> Velghe, A.G.,“In Memoriam Henri Louis Vanderlinden”, In: ‘’Jaarboek 1983’’, Brussel: KVAB, p. 220-222.<ref/>
 
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Vanderlinden werd door de koning benoemd tot lid van de [[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten]] bij zijn oprichting in 1938.  Hij werd in 1944 bestuurder van de Klasse der Wetenschappen en voorzitter van de Academie.  Hij was lid van de Commissie der publicaties en van de Commissie der kandidaturen voor de Klasse der Wetenschappen.<ref> Velghe, A.G.,“In Memoriam Henri Louis Vanderlinden”, In: ‘’Jaarboek 1983’’, Brussel: KVAB, p. 220-222.<ref/>
 
Daarnaast was hij lid (later erelid), secretaris, ondervoorzitter en voorzitter van het Nationaal Comité voor Sterrenkunde.  Ook was hij lid en later erelid van de Nationale Comités voor theoretische en toegepaste mechanica, wiskunde en ruimteonderzoek.
 
Ook was hij lid van het Nationaal Comité voor Antarctica. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 782. <ref/
 
Belangrijk om eveneens te vermelden is het feit dat op 28 oktober 1983 het Vanderlindenfonds werd opgericht dat om de twee jaar een prijs zal toekennen aan een studie over sterrenkunde.  Dit fonds is ontstaan door een schenking van Vanderlinden aan de Academie.<ref> ‘’Jaarboek 1983’’.  Brussel: KVAB, p. 174. <ref/> 
 
Hij was daarnaast ook lid van een hele reeks andere wetenschappelijke instellingen en genootschappen en commissies.
 
Aan het NFWO was hij lid van de eerste commissie wiskunde en sterrenkunde en nam hij frequent deel aan de vergaderingen van de Contactgroep Sterrenkunde en Astrofysica.
 
Hij zat in de Raad van Beheer van het Instituut voor Wetenschappelijk Onderzoek in Centraal Afrika.  Ook was hij lid van de Bestendige Commissie voor Sterrenkunde in Centraal Afrika en van het Speciaal Belgisch Comité voor Wetenschappelijk Onderzoek in het Zuidpoolgebied. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 780. <ref/> 
 
Daarnaast was hij van 1946 tot 1982 derde voorzitter van de Natuur- en Geneeskundig vennootschap, uitgeefster van het Natuurwetenschappelijk tijdschrift van Simon Stevin.
 
Ook internationaal was hij aanwezig zo werd hij in 1925 lid van de International Astronomical Union.  Hier maakte hij deel uit van drie commissies: stellaire fotometrie, sterrenhopen en nevels en stellaire statistiek.
 
Doordat hij frequent in aanraking kwam met de verwerking van gegevens en met numeriek rekenen, was hij sterk geïnteresseerd in het gebruik en ontwikkeling van rekenmachines.  Dit verklaart dan ook zijn aanwezigheid in de Raad voor Advies bij het Nationaal Centrum voor Mechanische Berekeningen, zijn lidmaatschap van de Raad voor Studie en van de Bouw van Elektronische Rekenmachines van het IWONL (Instituut tot Aanmoediging van het Wetenschappelijk onderzoek in Nijverheid en Landbouw). <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 781. <ref/> 
 
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Hij was houder van het ereteken van Grootofficier in de Leopoldsorde. <ref> Velghe,
 
A.G.,“In Memoriam Henri Louis Vanderlinden”, In: ‘’Jaarboek 1983’’, Brussel: KVAB, p. 220-222.<ref/>
 
 
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===Werken===
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===Travaux===
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À l’[[Observatoire royal de Belgique – Koninklijke sterrenwacht van België|Observatoire royal]], Vanderlinden fait surtout de la recherche sur  la détermination de l’emplacement et des orbites des planètes et des comètes et à la photométrie. Sa publication : ''Onderzoekingen betreffende de verandering der absorptie van de fotografische stralen met de hoogte der sterren'', a été longtemps utilisée comme référence pour l’analyse des données photométriques.<br/>
Aan de Koninklijke Sterrenwacht deed hij vooral onderzoek naar de plaats-en baanbepalingen van planeten en kometen en naar de fotometrie.  
+
Il publie, en 1920, différents articles sur la théorie de la relativité d’Einstein. Il collabore pour certains d’entre eux avec [[De Donder, Théophile Ernest (1872-1957)|Théophile De Donder]], son ancien professeur, qui fournit une base mathématique. <br/>
Zijn publicatie ‘’Onderzoekingen betreffende de verandering der absorptie van de  
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Ils étudient également, des solutions d’équations d’Einstein correspondant à un espace à symétrie sphérique (mais pas spécialement homogène) et les équations du champ gravitationnel en présence d’une source de champs électromagnétiques.<ref>  
fotografische stralen met de hoogte der sterren’’, werd jarenlang gebruikt als referentie aan de Koninklijke Sterrenwacht bij de reductie van fotometrische waarnemingsgegevens.  
+
LAMBERT, Dominique, [http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc02_01/hall014gesc02_01_0038.php "La relativité générale et la cosmologie"], in {{Halleux 2}}, p. 131. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).</ref><br/>
Vanderlinden publiceerde bovendien in 1920 verschillende originele bijdragen over de relativiteitstheorie geformuleerd door Einstein. Sommige van deze publicaties werden door zijn oud-professor [[Théophile De Donder]] voorzien van een wiskundige basis.
+
Grâce à ses publications, Vanderlinden est invité, en 1922, à prendre part aux discussions sur la théorie générale de la relativité au Collège de France. <br/>
De bekendheid die hiermee verwierf, bezorgde hem een uitnodiging om deel te nemen aan besprekingen over de algmene relativiteitstheorie aan het Collège de France in 1922. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 777. <ref/>
+
Lors de ses séjours dans les observatoires américains, il récolte un vaste matériel photographique qu’il exploite dans des publications sur les couleurs des étoiles dans les amas ouverts de Praesepe et de Mesier 67.
Tijdens zijn verblijven aan de Amerikaanse sterrenwachten verzamelde hij omvangrijk fotografisch materiaal dat bij zijn terugkomst in België zou resulteren in publicaties over het kleuren van sterren in de open sterrenhopen Preaesepe en Mesier 67.  Hiertoe diende hij de fotografische magnitude en de effectieve golflengten van een zeer groot aantal sterren te bepalen. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 778. <ref/>
+
Il utilise cette documentation pour déterminer la magnitude photographique et les longueurs d’onde effectives d’un très grand nombre d’étoiles. <br/>
Tijdens zijn verblijf in Californië kreeg hij de gelegenheid om deel te nemen aan de Mount-Wilson expeditie voor de waarneming van de totale zonsverduistering van 10/09/1923 op Point Loma. De bedoeling was om de buiging van het licht van een ster, veroorzaakt door het zwaarteveld van de zon, te meten. Experimenten van deze aard aan de hand van de algemene relativiteitstheorie waren bedoeld om een bevestiging te geven aan de voorspellingen van Einstein. Tot in 1929 zou Vanderlinden dan ook artikels over de gravitatietheorie van Einstein publiceren. <ref> Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 778. <ref/>
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Pendant un séjour en Californie, il est invité à participer à l’expédition Mount Wilson pour observer l'éclipse totale de soleil du 09/10/1923 depuis Point Loma. <br/>
Onder impuls van Vanderlinden werd aan de RUG de verdeling van de donkere materie in meerdere gebieden van de melkwegschijf bestudeerd.<ref>Houziaux, L., “De sterrenkunde.” In: ‘’Geschiedenis van de wetenschappen in België, 1815-2000’’ onder leiding van Robert Halleux, vol 2, Brussel, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 136.<ref/>
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Le but de cette entreprise est de mesurer la courbure de la lumière d'une étoile provoquée par le champ gravitationnel du soleil. <br/>
 
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Les expériences de cette nature sur la base de la relativité générale ont pour but de trouver une confirmation aux prédictions d'Einstein. <br/>
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Jusqu’en 1929, Vanderlinden rédige des articles sur la théorie de la gravitation d’Einstein. <ref> MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in ''Nationaal Biografisch Woordenboek'', vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 778.</ref><br/>
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C’est encore sur l’initiative de Vanderlinden que l’[[Université de Gand]] étudie la distribution de matière noire dans plusieurs régions du disque galactique. <br/>
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En outre, il s’intéresse comme [[Velghe, Albert G. (1916-1986)|Albert Velghe]] à la statistique stellaire.<ref> HOUZIAUX, Léo, [http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc02_01/hall014gesc02_01_0039.php "L’astronomie"], in {{Halleux 2}}, p. 146. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).</ref><br/>
 
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===Publications===
===Publicaties===
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*"Observations de comètes faites à l'équatorial de 38 centimètres d'ouverture de 1915 à 1918", in ''Annales de l'Observatoire royal de Belgique. Annales astronomiques ; nouvelle série''., vol. 14, Bruxelles : M. Hayez, 1920, p. [277]-296.
 
+
*''Etude de l'amas de Praesepe basée sur les magnitudes photographiques et les longueurs d'onde effectives de 1821 étoiles'', Gembloux : Imprimerie J. Duculot, 1933.
* “Observations de cometes faites a l'equatorial de 38 centimetres d' ouverture de 1915 a 1918” In: ‘’Annales de l'Observatoire royal de Belgique. Annales astronomiques ; nouv. ser’’., vol. 14, Brussel : M. Hayez, 1920., p. [277]-296.
+
*''The gravitational field of an electrical sphere with a variable density of matter''.
* ‘’Etude de l'amas de Praesepe basee sur les magnitudes photographiques et les longueurs d'onde effectives de 1821 etoiles.’’, Gembloux, Imprimerie J. Duculot, 1933
+
* "Relativity: A Systematic Treatment of Einstein's Theory", in ''Astrophysical Journal'', vol. 60, p. 264.
* ‘’The gravitational field of an electrical sphere with a variable density of matter’’
+
* avec P. STROOBANT, J. DELVOSAL, E. DELPORTE, F. MOREAU, ''Les observatoires astronomiques et les astronomes. Ouvrage publié sous les auspices de l'Union Astronomique Internationale'', Tournai-Paris : Etablissements Casterman, 1931, 315 p.
* “Relativity: A Systematic Treatment of Einstein's Theory”, In: ‘’Astrophysical Journal’’, vol. 60, p.264
+
*[http://search.ugent.be/meercat/x/all?q=vanderlinden+h.l Liste des publications] sur le site Internet de la bibliothèque de l’Université de Gand, consulté le 25/05/2010 à 15h15.<br/>
* met Stroobant (P.), Delvosal (J.), Delporte (E.), Moreau (F.),. ‘’Les observatoires astronomiques et les astronomes. Ouvrage publié sous les auspices de l'Union Astronomique Internationale’’, Tournai-Paris, Etablissements Casterman, 1931. 315 pp.
 
* Website Google books [[http://books.google.be/books?q=+inauthor:%22Henri+Louis+Vanderlinden%22&source=gbs_metadata_r&cad=2]] geconsulteerd op 21/05/2010 om 11u.30
 
 
 
 
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===Bibliografie===
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===Bibliographie===
 
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*HOUZIAUX, Léo, [http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc02_01/hall014gesc02_01_0039.php "L’astronomie"], in {{Halleux 2}}, p. 135. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).
* Velghe, A.G.,“In Memoriam Henri Louis Vanderlinden”, In: ‘’Jaarboek 1983’’, Brussel: KVAB, p. 220-222
+
*LAMBERT, Dominique, [http://www.dbnl.org/tekst/hall014gesc02_01/hall014gesc02_01_0038.php "La relativité générale et la cosmologie"], in {{Halleux 2}}, p. 131. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).</ref><br/>
* Mertens R.A. “Vanderlinden Henri Louis”. In: ‘’Biographie Nationale’’, vol. 16, Bruxelles : Paleis der Academiën, 2002, kol. 776-782.
+
*LUYKX, T., [http://lib.ugent.be/fulltxt/MEM01/000/001/129/MEM01-000001129_1960.pdf "H.L. Vanderlinden"], in ''Liber Memorialis RUG'', Fac. Wetenschappen, Fac. Toegepaste Wetenschappen, Gand, 1960, p. 145-149.
* ‘’Jaarboek 1983’’, Brussel: KVAB.
+
*MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in ''Nationaal Biografisch Woordenboek'', vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 776-782.
* Houziaux, L., “De sterrenkunde.” In: ‘’Geschiedenis van de wetenschappen in België, 1815-2000’’ onder leiding van Robert Halleux, vol 2, Brussel, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001.
+
*MERTENS, R.A., "In memoriam Prof. Dr. Em. H.L. Vanderlinden", in ''Simon Stevin'', t. 27 (3), 1983, p. 161-162.
 +
*VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in ''Jaarboek 1983'', Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222
 +
*''Jaarboek 1983'', Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 174.
 +
*WALSCHOT, L.,"In memoriam Prof. Dr. Em. H.L. Vanderlinden", in ''Natuurwetenschappelijk Tijdschrift'', t. 64 (5), 1983, p. 126-128.
 
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===Nota’s===
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===Notes===
 
 
 
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Latest revision as of 15:41, 8 April 2021

Astronome né à Watermael-Boitsfort le 3 janvier 1892 et décédé dans la même commune le 30 mars 1983.

Biographie

Henri Louis Vanderlinden est né le 3 janvier 1892 à Watermael-Boitsfort. Il est le fils de Catherine Ceuleneer et de Amand Charles Vanderlinden, un ouvrier du marbre. Il fait ses études secondaires à l’Athénée royal d’Ixelles. Le 8 juillet 1914, il est proclamé docteur en physique et en mathématiques à l’Université libre de Bruxelles. Au cours de ses études universitaires, il se passionne pour l’astronomie. En septembre 1913, il est assistant volontaire à l’Observatoire royal d’Uccle. Une fois diplômé, il est nommé assistant-stagiaire. Il obtient le titre d’assistant quelques mois plus tard et en 1927, il devient astronome-adjoint. Il occupe ce poste jusqu’en 1936. En 1923, il est envoyé à l’Observatoire de Leiden auprès du danois Ejnar Hertzsprung. Cet échange scientifique lui permet d’utiliser la méthode basée sur les longueurs d’ondes effectives et mise au point par Hertzsprung pour déterminer les équivalents de couleurs des étoiles et des nébuleuses.[1]
Bénéficiant d’un bourse de la Commission for the Relief of Belgium, Henri Louis Vanderlinden part comme assistant-chercheur, pour l’année académique 1923-1924, au Mount Wilson Observatory à Pasadena en Californie. L’année suivante, il se rend au Yerkes Observatory de l’University of Chicago.


En octobre 1925, Vanderlinden est nommé chargé de cours à l’Université de Gand, où il enseigne l’astronomie mathématique, la géodésie, la mécanique analytique, et la mécanique des corps célestes auxquels vont s’ajouter les cours de géographique mathématique, de spectroscopie et astrophysique, de physique du globe et de météorologie.[2] Le 1er janvier 1934, il devient professeur extraordinaire. En 1936, il est nommé professeur ordinaire à l’Université de Gand après avoir démissionné de son poste à l’Observatoire. Il conserve cependant le titre d’astronome correspondant. Plus tard, il devient successivement membre, vice-président et président du Conseil scientifique de l'Observatoire. Dans les années 60, il fait partie du conseil supervisant les institutions scientifiques appartenant au Conseil de la recherche scientifique (l’Observatoire royal, l’Institut royal de météorologie et l’Institut d'aéronomie spatiale de Belgique). [3] En dehors de ses charges académiques à l’Université de Gand, Vanderlinden occupe des fonctions administratives. Il est notamment secrétaire de la faculté des sciences en 1941-1942, et de 1942 à 1943, il en est le doyen.
Il accède à l’éméritat en 1962.


En 1923 et en 1933, Vanderlinden remporte le Prix Agathon De Potter. Il entre en 1938 comme Membre de la Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten nouvellement scindée. Il est en 1944, directeur de la classe des sciences et président de l’Académie. Il est membre de la commission des publications et de la commission des candidatures à la classe des sciences. [4] Dans le cadre de l’académie, il est membre (ensuite membre honoraire) du Comité National de Mécanique théorique et appliquée, du Comité National de Mathématique, du Comité National des Recherches Spatiales et du Comité National d'Astronomie dont il a été également secrétaire, vice-président et président. [5]
Le 28 octobre 1983, le fonds Vanderlinden est créé suite à un don de ce dernier à l’Académie, il permet le création d'un prix. Il a pour objectif la remise d’un prix récompensant, tous les deux ans, une étude novatrice en astronomie. [6] Au sein du FNRS, il est membre de la première commission de mathématique et d’astronomie et prend fréquemment part aux réunions du Groupe de contact "astronomie et astrophysique". Il siège au conseil d’administration de l’IRSAC et est membre de la Bestendige Commissie voor Sterrenkunde in Centraal Afrika et du Comité National belge pour la recherche en Antarctique. En 1944, il devient membre correspondant de la Société royale des sciences de Liège. En 1948, il devient membre de l'Association des astronomes néerlandais.
De 1946 à 1982, il est le troisième président de la Natuur- en Geneeskundige Vennootschap, qui fait paraître le périodique Simon Stevin : wis- en natuurkundig tijdschrift. Étant régulièrement amené à travailler avec des données et des calculs numériques, Vanderlinden s’intéresse à l’utilisation et au développement des machines à calculer. Dès lors, il est membre du conseil consultatif du Centre national de calcul mécanique, du Conseil d’étude et de construction de machines à calculer électroniques de l’IRSIA.[7] Il est aussi actif dans plusieurs sociétés savantes à l’étranger. En 1925, il devient membre de l’International Astronomical Union au sein de laquelle il participe à trois commissions : celle de photométrie stellaire, amas stellaires et de nébuleuses et statistiques stellaires. A partir de 1930, il est membre de la Nederlands Archief van Tijdmeetkunde.
Outre l'aspect purement scientifique, il s’intéresse à la vulgarisation scientifique. Il est un des co-fondateurs et de 1945 à 1952, président de la Vereniging voor sterrenkunde, meteorologie, geofysica en aanverwante wetenschappen qui regroupe des astronomes-amateurs et d’autres personnes intéressées.


Vanderlinden est grand-officier de l’ordre de Léopold.[8]

Travaux

À l’Observatoire royal, Vanderlinden fait surtout de la recherche sur la détermination de l’emplacement et des orbites des planètes et des comètes et à la photométrie. Sa publication : Onderzoekingen betreffende de verandering der absorptie van de fotografische stralen met de hoogte der sterren, a été longtemps utilisée comme référence pour l’analyse des données photométriques.
Il publie, en 1920, différents articles sur la théorie de la relativité d’Einstein. Il collabore pour certains d’entre eux avec Théophile De Donder, son ancien professeur, qui fournit une base mathématique.
Ils étudient également, des solutions d’équations d’Einstein correspondant à un espace à symétrie sphérique (mais pas spécialement homogène) et les équations du champ gravitationnel en présence d’une source de champs électromagnétiques.[9]
Grâce à ses publications, Vanderlinden est invité, en 1922, à prendre part aux discussions sur la théorie générale de la relativité au Collège de France.
Lors de ses séjours dans les observatoires américains, il récolte un vaste matériel photographique qu’il exploite dans des publications sur les couleurs des étoiles dans les amas ouverts de Praesepe et de Mesier 67. Il utilise cette documentation pour déterminer la magnitude photographique et les longueurs d’onde effectives d’un très grand nombre d’étoiles.
Pendant un séjour en Californie, il est invité à participer à l’expédition Mount Wilson pour observer l'éclipse totale de soleil du 09/10/1923 depuis Point Loma.
Le but de cette entreprise est de mesurer la courbure de la lumière d'une étoile provoquée par le champ gravitationnel du soleil.
Les expériences de cette nature sur la base de la relativité générale ont pour but de trouver une confirmation aux prédictions d'Einstein.
Jusqu’en 1929, Vanderlinden rédige des articles sur la théorie de la gravitation d’Einstein. [10]
C’est encore sur l’initiative de Vanderlinden que l’Université de Gand étudie la distribution de matière noire dans plusieurs régions du disque galactique.
En outre, il s’intéresse comme Albert Velghe à la statistique stellaire.[11]

Publications

  • "Observations de comètes faites à l'équatorial de 38 centimètres d'ouverture de 1915 à 1918", in Annales de l'Observatoire royal de Belgique. Annales astronomiques ; nouvelle série., vol. 14, Bruxelles : M. Hayez, 1920, p. [277]-296.
  • Etude de l'amas de Praesepe basée sur les magnitudes photographiques et les longueurs d'onde effectives de 1821 étoiles, Gembloux : Imprimerie J. Duculot, 1933.
  • The gravitational field of an electrical sphere with a variable density of matter.
  • "Relativity: A Systematic Treatment of Einstein's Theory", in Astrophysical Journal, vol. 60, p. 264.
  • avec P. STROOBANT, J. DELVOSAL, E. DELPORTE, F. MOREAU, Les observatoires astronomiques et les astronomes. Ouvrage publié sous les auspices de l'Union Astronomique Internationale, Tournai-Paris : Etablissements Casterman, 1931, 315 p.
  • Liste des publications sur le site Internet de la bibliothèque de l’Université de Gand, consulté le 25/05/2010 à 15h15.


Bibliographie

  • HOUZIAUX, Léo, "L’astronomie", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 135. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).
  • LAMBERT, Dominique, "La relativité générale et la cosmologie", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 131. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).</ref>
  • LUYKX, T., "H.L. Vanderlinden", in Liber Memorialis RUG, Fac. Wetenschappen, Fac. Toegepaste Wetenschappen, Gand, 1960, p. 145-149.
  • MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 776-782.
  • MERTENS, R.A., "In memoriam Prof. Dr. Em. H.L. Vanderlinden", in Simon Stevin, t. 27 (3), 1983, p. 161-162.
  • VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in Jaarboek 1983, Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222
  • Jaarboek 1983, Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 174.
  • WALSCHOT, L.,"In memoriam Prof. Dr. Em. H.L. Vanderlinden", in Natuurwetenschappelijk Tijdschrift, t. 64 (5), 1983, p. 126-128.


Notes

  1. MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 777.
  2. VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in Jaarboek 1983, Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222.
  3. MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 780.
  4. VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in Jaarboek 1983, Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222.
  5. MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 782.
  6. Jaarboek 1983, Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 174.
  7. MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 781.
  8. VELGHE, A.G., "In Memoriam Henri Louis Vanderlinden", in Jaarboek 1983, Bruxelles: Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten, p. 220-222.
  9. LAMBERT, Dominique, "La relativité générale et la cosmologie", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 131. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).
  10. MERTENS, R.A., "Vanderlinden Henri Louis", in Nationaal Biografisch Woordenboek, vol. 16, Bruxelles: Palais des Académies, 2002, col. 778.
  11. HOUZIAUX, Léo, "L’astronomie", in Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000 sous la dir. De Robert Halleux, t. 2, Bruxelles, Dexia/La Renaissance du Livre, 2001, p. 146. (seule la version néerlandaise est disponible en ligne).