Difference between revisions of "Dupont, Édouard-François (1841-1911)"
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− | Il est nommé correspondant de l'[[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten|Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles]] | + | Édouard Dupont devient docteur en sciences naturelles à l’Université de Louvain; mais c’est la rencontre avec [[Omalius d'Halloy, Jean-Baptiste-Julien d' (1783-1875)|Jean-Baptiste d’Omalius d’Halloy]] qui influence sa carrière scientifique et lui ouvre les portes de la géologie. <ref> STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2095.pdf#page=131 "Dupont, (Édouard-François)"], in ''Biographie Nationale'', t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 256</ref>.<br/> |
+ | A 27 ans il succède à [[Du Bus de Gisignies, Bernard-Amé-Léonard vicomte (1808-1874)|Bernard du Bus de Gisignies]] comme directeur du [[Institut royal des sciences naturelles de Belgique - Koninklijk Belgisch instituut voor natuurwetenschappen|Musée royal d’histoire naturelle de Belgique]]. Dupont est conforté à ce poste par l’arrêté royal du 4 avril 1868 et reste en place jusqu’au 30 novembre 1909. | ||
+ | Il apporte de nombreuses évolutions à l’institution. Le musée occupe à cette époque les locaux de l'ancien palais du prince Charles de Lorraine. Dupont obtient l'élargissement du cadre, du personnel et la création de sections scientifiques. Il réorganise les salles d'exposition en y apportant un aspect didactique nouveau: des étiquettes et des notes qui permettent au grand public d’avoir accès aux sciences. En 1875, onze salles sont ouvertes au public. Le nombre de visiteurs augmente d'année en année.<ref> STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FRANCOISDUPONTEdouardARB_19658341.pdf "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique"], in ''Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique'', t. 131, 1965, p. 5.</ref><br/> | ||
+ | Certaines salles sont consacrées aux oiseaux, d’autres à la mise en valeur des ossements découverts lors des travaux effectués à Anvers, 3 salles au quaternaire dans lesquelles sont exposés, entre autres, le mammouth de Lierre, le Coelodonte antiquitatis et l’Hippopotamus major. <br/> | ||
+ | Dupont y expose également ses découvertes paléontologiques et spéléologiques.<ref> STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2095.pdf#page=131 "Dupont, (Édouard-François)"], in ''Biographie Nationale'', t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 257</ref><br/> | ||
+ | Son objectif est de mettre en place un musée national. Il n’expose les échantillons étrangers que comme matériel de comparaison. En vue d’enrichir les collections, il pousse l'exploration scientifique en Belgique. En 1891, les collections sont transférées dans les locaux de l’ancien jardin botanique de l’état auxquels en 1905 une nouvelle aile est inaugurée pour présenter la faune belge. <br/> | ||
+ | En 1870, par suite d'une loi signée le 7 juin, le Jardin botanique de la Société royale d'Horticulture de Belgique est acquis par l'État. Suite à un suggezstion de [[Dumortier, Barthélémy-Charles-Joseph (1797-1878)|Barthélémy Dumortier]], l'herbier Martius, acheté un mois plus tôt, est déposé au Musée d'Histoire naturelle ; ce qui répond au souhait de Dupont de grouper l’ensemble des sciences naturelles dans une même institution. Ces plantes restent au musée jusqu’en 1877, date à laquelle les herbiers de l’institution sont transférés au Jardin botanique. <br/> | ||
+ | Le 1er mai 1875, Édouard Dupont est nommé directeur du Jardin Botanique; cependant il ne reste en place qu’un an, le cumul avec sa charge de directeur du Musée étant trop lourd pour une seule personne. <br/> | ||
+ | Le 19 juillet 1878, il prend la direction d’une commission administrative mise en place par arrêté gouvernemental pour établir la carte géologique de Belgique, composée de dix géologues et trois fonctionnaires. La désignation de Dupont à ce poste déclenche de vives oppositions, entre autres, de la part de [[Dewalque, Gilles-Joseph-Gustave (1826-1905)|Gustave Dewalque]]. <br/> | ||
+ | Si bien qu’en 1885, le crédit destiné à la continuation de la carte est rejeté et l’exécution de cette dernière suspendue et confiée au service de Géologie rattaché à l’administration des mines. <br/> | ||
+ | Une autre conséquence de cette opposition est une scission au sein de la [[Société géologique de Belgique]]. En février 1887, une seconde société est créée à Bruxelles, la [[Geologica Belgica|Société belge de géologie, de paléontologie et d'hydrologie]].<ref> STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2095.pdf#page=131 "Dupont, (Édouard-François)"], in ''Biographie Nationale'', t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 260.</ref> <br/> | ||
+ | Une autre raison de cette séparation est l’opposition entre les géologues et les paléontologues en ce qui concerne les questions d’évolution. <ref>VANPAEMEL Geert, "La révolution darwinienne", in {{Halleux 1}} p. 265.</ref> | ||
+ | En juin 1887, Dupont se rend à ses frais à Boma au Congo pour faire des observations géologiques dans la région. Il rentre le 16 février 1888. | ||
+ | Il est nommé correspondant de l'[[Académie royale des sciences des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique - Koninklijke Vlaamse Academie van België voor wetenschappen en kunsten|Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles]] le 15 décembre 1866 et il devient membre de l’institution le 15 décembre 1869. Il est président de l'Académie en 1884 et directeur de la Classe des Sciences en 1884 et en 1898. | ||
+ | En 1913, un buste de Dupont est installé au Musée d’Histoire naturelle de Belgique.<ref>STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2095.pdf#page=131 "Dupont, (Édouard-François)"], in ''Biographie Nationale'', t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col.261</ref> | ||
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+ | Dès les premières années, ses recherches sont axées sur le calcaire carbonifère et sur les fouilles des cavernes des vallées de la Meuse et de la Lesse. <ref> STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FRANCOISDUPONTEdouardARB_19658341.pdf "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique"], in ''Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique'', t. 131, 1965, p. 5. </ref> | ||
+ | En 1860, lors d’une réunion avec la Société géologique de France, Édouard Dupont émet la théorie des lacunes : notifiant l’existence d’une sédimentation particulière, localisée en certains points des mers carbonifères. Cette théorie est à l’origine d’une vive opposition avec Gustave Dewalque et est infirmée par [[Dorlodot, Henry de (1855-1929)|Henry de Dorlodot]] un quart de siècle plus tard. <ref>GROESSENS Éric, GROESSENS-VAN DYCK Marie-Claire, "La géologie", in {{Halleux 1}} p. 279.</ref> | ||
+ | Dupont dote le musée de deux publications : en 1875, les ''Annales du Musée royal d'Histoire naturelle de Belgique'' et en 1882, le ''Bulletin du Musée royal d'Histoire naturelle''. | ||
+ | Lors de l’élaboration de la carte géologique, il participe à la rédaction des textes explicatifs qui l’accompagne. <ref> STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2095.pdf#page=131 "Dupont, (Édouard-François)"], in ''Biographie Nationale'', t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 259. </ref> | ||
+ | Il est le premier à dresser des cartes géologiques détaillées de la région de Dinant en 1865 et à établir une échelle stratigraphique du calcaire carbonifère en 1893 qui est appelé ''Dinantien''. | ||
+ | Il publie, en 1889, ''Lettres sur le Congo: Récit d'un voyage scientifique entre l'embouchure du fleuve et le confluent du Kasaï'' dans lequel il consigne ses observations. | ||
+ | Ses principaux domaines de recherches sont l’étude des terrains carbonifères de Belgique, les récifs dévoniens de l’Entre-Sambre-et-Meuse et la préhistoire. | ||
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− | + | *Liste des publications dans STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FRANCOISDUPONTEdouardARB_19658341.pdf "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique"], in ''Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique'', t. 131, 1965, p. 28-57. | |
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===Bibliographie=== | ===Bibliographie=== | ||
+ | *STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FRANCOISDUPONTEdouardARB_19658341.pdf "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique"], in ''Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique'', t. 131, 1965, p. 1-57. | ||
+ | *STOCKMANS, François, [http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFBiographieNationaleTome2095.pdf#page=131 "Dupont, (Édouard-François)"], in ''Biographie Nationale'', t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 255-261. | ||
+ | *GROESSENS Éric, GROESSENS-VAN DYCK Marie-Claire, "La géologie", in {{Halleux 1}} p. 279-281. | ||
+ | *VANPAEMEL Geert, "La révolution darwinienne", in {{Halleux 1}} p. 265. | ||
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Latest revision as of 15:23, 6 August 2021
Géologue, paléontologiste et préhistorien, né le 31 janvier 1841 à Dinant et décédé le 31 mars 1911 à Cannes.
Biographie
Né le 31 janvier 1841, Édouard-François Dupont grandit dans un milieu intellectuel. Son grand-père maternel Burton, est notaire à Philippeville. Son père, avocat, collectionne en amateur les fossiles carbonifères des environs de Dinant et entretient des rapports réguliers avec le paléontologiste Laurent-Guillaume De Koninck[1].
Édouard Dupont devient docteur en sciences naturelles à l’Université de Louvain; mais c’est la rencontre avec Jean-Baptiste d’Omalius d’Halloy qui influence sa carrière scientifique et lui ouvre les portes de la géologie. [2].
A 27 ans il succède à Bernard du Bus de Gisignies comme directeur du Musée royal d’histoire naturelle de Belgique. Dupont est conforté à ce poste par l’arrêté royal du 4 avril 1868 et reste en place jusqu’au 30 novembre 1909.
Il apporte de nombreuses évolutions à l’institution. Le musée occupe à cette époque les locaux de l'ancien palais du prince Charles de Lorraine. Dupont obtient l'élargissement du cadre, du personnel et la création de sections scientifiques. Il réorganise les salles d'exposition en y apportant un aspect didactique nouveau: des étiquettes et des notes qui permettent au grand public d’avoir accès aux sciences. En 1875, onze salles sont ouvertes au public. Le nombre de visiteurs augmente d'année en année.[3]
Certaines salles sont consacrées aux oiseaux, d’autres à la mise en valeur des ossements découverts lors des travaux effectués à Anvers, 3 salles au quaternaire dans lesquelles sont exposés, entre autres, le mammouth de Lierre, le Coelodonte antiquitatis et l’Hippopotamus major.
Dupont y expose également ses découvertes paléontologiques et spéléologiques.[4]
Son objectif est de mettre en place un musée national. Il n’expose les échantillons étrangers que comme matériel de comparaison. En vue d’enrichir les collections, il pousse l'exploration scientifique en Belgique. En 1891, les collections sont transférées dans les locaux de l’ancien jardin botanique de l’état auxquels en 1905 une nouvelle aile est inaugurée pour présenter la faune belge.
En 1870, par suite d'une loi signée le 7 juin, le Jardin botanique de la Société royale d'Horticulture de Belgique est acquis par l'État. Suite à un suggezstion de Barthélémy Dumortier, l'herbier Martius, acheté un mois plus tôt, est déposé au Musée d'Histoire naturelle ; ce qui répond au souhait de Dupont de grouper l’ensemble des sciences naturelles dans une même institution. Ces plantes restent au musée jusqu’en 1877, date à laquelle les herbiers de l’institution sont transférés au Jardin botanique.
Le 1er mai 1875, Édouard Dupont est nommé directeur du Jardin Botanique; cependant il ne reste en place qu’un an, le cumul avec sa charge de directeur du Musée étant trop lourd pour une seule personne.
Le 19 juillet 1878, il prend la direction d’une commission administrative mise en place par arrêté gouvernemental pour établir la carte géologique de Belgique, composée de dix géologues et trois fonctionnaires. La désignation de Dupont à ce poste déclenche de vives oppositions, entre autres, de la part de Gustave Dewalque.
Si bien qu’en 1885, le crédit destiné à la continuation de la carte est rejeté et l’exécution de cette dernière suspendue et confiée au service de Géologie rattaché à l’administration des mines.
Une autre conséquence de cette opposition est une scission au sein de la Société géologique de Belgique. En février 1887, une seconde société est créée à Bruxelles, la Société belge de géologie, de paléontologie et d'hydrologie.[5]
Une autre raison de cette séparation est l’opposition entre les géologues et les paléontologues en ce qui concerne les questions d’évolution. [6]
En juin 1887, Dupont se rend à ses frais à Boma au Congo pour faire des observations géologiques dans la région. Il rentre le 16 février 1888.
Il est nommé correspondant de l'Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles le 15 décembre 1866 et il devient membre de l’institution le 15 décembre 1869. Il est président de l'Académie en 1884 et directeur de la Classe des Sciences en 1884 et en 1898.
En 1913, un buste de Dupont est installé au Musée d’Histoire naturelle de Belgique.[7]
Il décède le 30 janvier 1911 à Cannes.
Travaux
L’œuvre de Dupont est considérable. Dès les premières années, ses recherches sont axées sur le calcaire carbonifère et sur les fouilles des cavernes des vallées de la Meuse et de la Lesse. [8] En 1860, lors d’une réunion avec la Société géologique de France, Édouard Dupont émet la théorie des lacunes : notifiant l’existence d’une sédimentation particulière, localisée en certains points des mers carbonifères. Cette théorie est à l’origine d’une vive opposition avec Gustave Dewalque et est infirmée par Henry de Dorlodot un quart de siècle plus tard. [9] Dupont dote le musée de deux publications : en 1875, les Annales du Musée royal d'Histoire naturelle de Belgique et en 1882, le Bulletin du Musée royal d'Histoire naturelle. Lors de l’élaboration de la carte géologique, il participe à la rédaction des textes explicatifs qui l’accompagne. [10] Il est le premier à dresser des cartes géologiques détaillées de la région de Dinant en 1865 et à établir une échelle stratigraphique du calcaire carbonifère en 1893 qui est appelé Dinantien.
Il publie, en 1889, Lettres sur le Congo: Récit d'un voyage scientifique entre l'embouchure du fleuve et le confluent du Kasaï dans lequel il consigne ses observations.
Ses principaux domaines de recherches sont l’étude des terrains carbonifères de Belgique, les récifs dévoniens de l’Entre-Sambre-et-Meuse et la préhistoire.
Publications
- Liste des publications dans STOCKMANS, François, "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique", in Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, t. 131, 1965, p. 28-57.
Bibliographie
- STOCKMANS, François, "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique", in Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, t. 131, 1965, p. 1-57.
- STOCKMANS, François, "Dupont, (Édouard-François)", in Biographie Nationale, t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 255-261.
- GROESSENS Éric, GROESSENS-VAN DYCK Marie-Claire, "La géologie", in Robert Halleux, Geert Vanpaemel, Jan Vandersmissen en Andrée Despy-Meyer (éds.), Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000, Bruxelles : Dexia/La Renaissance du livre, 2001, vol. 1, p. 279-281.
- VANPAEMEL Geert, "La révolution darwinienne", in Robert Halleux, Geert Vanpaemel, Jan Vandersmissen en Andrée Despy-Meyer (éds.), Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000, Bruxelles : Dexia/La Renaissance du livre, 2001, vol. 1, p. 265.
Notes
- ↑ STOCKMANS, François, "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique", in Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, t. 131, 1965, p. 4
- ↑ STOCKMANS, François, "Dupont, (Édouard-François)", in Biographie Nationale, t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 256
- ↑ STOCKMANS, François, "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique", in Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, t. 131, 1965, p. 5.
- ↑ STOCKMANS, François, "Dupont, (Édouard-François)", in Biographie Nationale, t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 257
- ↑ STOCKMANS, François, "Dupont, (Édouard-François)", in Biographie Nationale, t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 260.
- ↑ VANPAEMEL Geert, "La révolution darwinienne", in Robert Halleux, Geert Vanpaemel, Jan Vandersmissen en Andrée Despy-Meyer (éds.), Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000, Bruxelles : Dexia/La Renaissance du livre, 2001, vol. 1, p. 265.
- ↑ STOCKMANS, François, "Dupont, (Édouard-François)", in Biographie Nationale, t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col.261
- ↑ STOCKMANS, François, "Notice sur Édouard, François Dupont, membre de l’Académie royale de Belgique", in Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, t. 131, 1965, p. 5.
- ↑ GROESSENS Éric, GROESSENS-VAN DYCK Marie-Claire, "La géologie", in Robert Halleux, Geert Vanpaemel, Jan Vandersmissen en Andrée Despy-Meyer (éds.), Histoire des sciences en Belgique, 1815-2000, Bruxelles : Dexia/La Renaissance du livre, 2001, vol. 1, p. 279.
- ↑ STOCKMANS, François, "Dupont, (Édouard-François)", in Biographie Nationale, t. 37, Bruxelles : Établissements Émile Bruylant, 1971, col. 259.